Les Services Lumineux En France

Assalamu alaykum va rahmatullahi va barakatuhu

Mes chers  frères et frères ainés, fidèles,

Comme vous le savez, les frères ainés d’Isparta [une ville  en Turquie] avaient trouvé bon pour nous d’aller en France à propos de s’informer sur les services continués dans ce pays. Louange à Allah [Dieu], on fit commencer vraiment des bons services là-bas.

Le deuxième jour de la fête du Sacrifice [Aïd al Adha] nous sommes allés au bourg  de Gray qui fait partie de l’arrondissement de Dijon. L’un de nos compagnons et sa femme ont approprié le service dans ce bourg et se sont entremis  à l’ouverture  d’une Maison de Nur [dershane] à Gray. Le bourg de Gray est une petite localité  de  10.000 habitants ; 80-90 familles Turques y vivent et la plupart  d’elles connaissent  Les livrets de Risale-i Nur et les possèdent dans leurs bibliothèques. Yusuf Hoca, un retraité de L’Organisation des Affaires Religieuses de La Turquie, n’y était allé que pour effectuer des services de Nur. Durant le Mois de Ramadan, chaque jour jusqu’à Sahur [le repas que l’on mange avant l’aube, de préférence le plus tard possible], les leçons de Nur  ont continué dans les maisons. Suivant le mois de Ramadan, en constatant que les maisons furent insuffisantes, ils ont décidé d’établir une Maison de Nur [dershane] et Allah a répondu à cette invocation en hâte. A savoir, on a été ouvert à peine une maison de Nur à Gray. A peu près, aux trois jours de la semaine on lit des livrets de Nur en Français, l’un d’eux destiné aux jeunes. Dans un échelon de 100-150 km. à Gray aux alentours de la quelle se situent les bourgs et les arrondissements comme Vesoul, Besançon, Dijon, Langres et Dijon vivent des milliers des Turcs et y viennent pour participer aux leçons et si Dieu le veut, dans un avenir bien proche on pense ouvrir également sur ces terrains une Maison de Nur[Medrasa-i Nuriyya].

Après Gray, nous sommes allés avec le frère ainé Ismail par le train vers le Sud de La France, à  Nîmes, une ville méditerranéenne approximativement de 700.000 habitants, proche d’Espagne et d’Italie. Cette ville se situe à une distance d’environ  600 km. à Gray. Là-bas, le frère ainé İsmail et le compagnon Şerafettin furent des intermédiaires aux beaux services dans un ensemble parfait en solidarité. La propriété de la Maison de Nur appartient au frère Şerafettin qui, à son tour, l’a destinée au service ; elle est vraiment belle et commode. A Nîmes, vivent d’environ 300 familles Turques et y existe une université. Chaque semaine, on se réunit trois fois pour lire les livrets de Nur. On va à leçons mensuelles pour étudier ces œuvres aux maisons dans les provinces comme Narbon, Toulon, Perpignan Marsilya [Marseille] qui se situent à une distance de 150-200 km. A Marseille, les frères ainés, Selahaddin et Musa font des leçons dans les maisons. Ici, à cause de la densité de la population arabe, le quatrième du peuple est Musulman. Il y a une bonne  atmosphère et ils demandent de la prière. A Nimes ,il ya d’environ 20 personnes qui participent aux leçons de Nur. Les frères ainés Ismail et le compagnon Şerafettin saluent tous les frères ainés et prient leurs prières. Avant de quitter Nîmes, nous nous sommes entretenus avec nos frères ainés vivant à Limoges où ils employaient  un magasin loué comme une Maison de Nur ; mais en raison d’insuffisance  aux services qui s’accroissent de plus en plus, on a été établi une nouvelle Maison de Nur. Cette ville est un province où vit un grand nombre du peuple de Yalvaç [ un bourg en Turquie ] et où continuent les leçons. Après Nimes, nous sommes allés à la région de Caen, à une distance de 1050 km, située juste au nord de La France. Ici, vit le frère Zübeyir , un volontaire pieux qui s’était trouvé en Turquie depuis huit ans avec sa famille dans les services des livrets de Nur et qui fut un intermédiaire à la fondation d’une Maison de Nur. Caen est une ville potentiellement favorable au service laquelle  a une forte population de  Turcs ; peut-être, nous pouvons la nommer à l’échelon de La France comme un arrondissement  le plus avancé aux services. De même, dans cette ville se trouve l’un de nos frères ainés, Hacı qui avait fait autrefois l’office en étant président  dans la mosquée de L’Organisation  des Affaires Religieuse de La Turquie. Vraiment il soutient les services du point de vue des sujets financiers et morals et il est comme un pont dans le service parce qu’il a un voisinage large dans la société. Dans ces lieux, il y a d’environ 60-80 personnes qui participent à la lecture des Risale-i Nur qui arrive neuf fois par semaine. Caen, un endroit pour les services de Nur, promet un avenir brillant. Caen consiste en deux régions dont l’une  appelée  IF dans laquelle  se trouve  La Maison de Nur abrite une communauté dense des frères Turcs  venus de la Turquie. Par conséquence, les Français nomment cet endroit comme “Iftanbul“ en face duquel se trouve l’université de Caen. On va à faire des lectures à maisons des livrets de Nur  dans les provinces  et les bourgs d’alentours, comme c’est le cas dans les autres provinces.

Après Caen, nous sommes allés à Lille, à une distance de 500 km. de là. Ici, le frère ainé Zeki a transformé son atelier parfaitement  en une grande Maison de Nur. Lille est l’une des grandes villes de La France et y vivent d’environ 7000 ou 10000 Turcs. Nous pouvons dire qu’elle  est une ville où les services de Nur conduits en France sont encore plus nouveaux. Il y existe une communauté de 10-15 personnes qui ont à peine reconnu Risale-i Nur. On y fait des leçons de Nur une fois par semaine. On va aux villes comme Gent, Bruxelles liech, Antwerpen, parce que Lille est à la frontière de La Belgique et cette ville possède trois grandes universités. Le frère ainé Zeki salue tous les frères et lui aussi, à son tour demande les prières des compagnons de Nurs. St.Quentine est une ville proche à Lille. Le frère ainé Ramazan y participe aux leçons de Maison et ils veulent y instaurer la neuvième Maison de Nur existante en France, si Dieu le veut.

Après Lille, nous nous sommes arrêtés à Bruxelles, une ville de la Belgique où nous avons participé à un [mashwara], (une négociation d’avis ; ensemble de ceux chez qui on se rend pour consultation) avec les frères ainés. Nous sommes partis pour Gent en quittant Bruxelles. A Gent, Le frère ainé Hamdi a transformé un étage de sa maison en une Maison de Nur où l’on exécute de bonnes  leçons de Nur avec une grande activité. Quand on regarde la structure générale de La France, nous avons constaté qu’y vivaient  plus d’un million Musulmans et un million Turcs et que les services de Risale-i Nur avaient commencé tout neuf et qu’ils avaient besoin d’un intérêt sincère et qu’à cette étape, on attendait le soutien de toute personne autonome d’une obligation. En ce moment, en France il y a totalement 8 Maisons de Nur et 3 en Belgique. Si Dieu le veut, à la longue, nous espérons et prions que ces nombres soient augmentés par nos courages et par ceux qui se trouvent là-bas.

Le désir de nos frères ainés en Belgique et en France est que les frères ainés volontaires  pieux (vaqıf) en Isparta, les frères ainés qui portent des passeports verts et  ceux qui sont autonomes de quelque obligation forcée viennent en vacances et qu’ils s’occupent de l’assemblée seul à seul et qu’ils participent aux programmes à lire et qu’ils organisent des programmes et  qu’y restent quelques mois  les frères ainés libres si c’est possible. Ces activités seraient le motif  du service en ces lieux et l’enthousiasme  chez les étudiants de Nur en France.

Les étudiants de Nur d’Isparta

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