1953 tarihinde Üstadımız Bediüzzaman Said Nursi hazretleri tarafından 1200 lira para verilerek bir yayın evi kurulmasına teşvik ettiği ve Bunun neticesinde M. Said ÖZDEMİR, Mustafa Cahit TÜRKMENOĞLU gibi ağabeylerin kuruluşunda isimleri bulunan ve üstadımız hayatta iken kurulan tek yayınevi olması gibi hususiyetler arz eden İhlasNur Neşriyat, Kurucusu olan M. Said ÖZDEMİR Ağabeyden sonra neşriyata kesintisiz bir şekilde devam etmektedir.
Lahika ve Şualar kitapları hariç, diğer kitapları Eski Tanzim Envar Neşriyat ile sayfa ve paragraf uyumlu şekilde baskısını yapmaktadır.
Risale-i Nur Külliyatının yabancı dil sesi, tercüme eserlerle artmaktadır.
İhlasNur Neşriyat tarafından Fransız lisanında, Kader Risalesi, Risale-i Nur Tercüme eserler ailesine kazandırıldı.
Il était une fois que le commandant d’un détachement militaire avait chargé ses deux soldats pour aller à une garnison lointaine. Ces deux soldats, après avoir fourni les choses nécessaires pour leur campagne, les ont remplacées dans leurs sacs à dos et en ceignant leurs équipements se sont mis en route. On était à peine au point de départ de la route que celle-ci s’est séparée tout d’un coup en deux sentiers. L’un d’eux allait à droite, l’autre à gauche. Juste au moment où les soldats se discutaient le quel sentier devraient-ils prendre, un vieillard dont tous les comportements signalait sa droiture apparut soudain en face d’eux. Le vieillard en les instruisant sur les deux sentiers leur dit comme suit :
“ Si vous suivez le sentier droit, vous serez obligés de porter les poids au-dessus de vos épaules tout le long du chemin. Mais quand même, vous arriverez à bon port à votre objectif sans rencontrer un péril grave pendant le passage. De plus, vous prendrez une récompense à la fin de la route. Si vous vous orientez au côté gauche, vous pouvez laisser par terre vos poids, cependant, puisque vous manquez vos armes et vos autres munitions, vous pourriez subir plusieurs dangers en route. Les deux chemins sont des mêmes longueurs. Le choix est à vous. “
Sur ces paroles, celui intelligeant et aimant l’ordre et la règle des soldats a choisi suivre le chemin droit ; et celui ne supportant même pas la plus petite peine et préférant une vie désobéissante le chemin gauche.
Quand ils se sont rencontrés au point de l’arrivée, même s’ils ont compris en personne tous les deux le quel chemin était heureux, c’était déjà trop tard. Celui qui suit le chemin droit bien qu’il avait porté ses poids un peu gênant au-dessus de ses épaules, était arrivé à son objectif sain et sauf sans nulle peur. En plus, le commandant l’avait récompensé. Quant à celui qui suivit le chemin gauche, comme il s’est désolé en subissant plusieurs périls, a été puni et réprimandé par son commandant.
Comme ces soldats mentionnés dans ce petit récit, nous aussi, pour ainsi dire, nous sommes chargés par Notre Seigneur de parvenir à l’au-delà dans le monde des âmes. La vie mondiale est une étape où notre voyage se déroulera. Les poids que nous portons sont des obligations que notre religion a mises au-dessus de nos épaules. Tandis que les passagers du chemin droit qui obéissent les ordres divins et supportent les charges d’Allah [Exalté soit-il] arrivent à l’au-delà dans la sérénité, de plus ils seront récompensés par un bonheur comme Le Paradis. Quant aux poursuivants du chemin gauche qui n’acceptent pas les charges religieuses, malgré qu’ils aient subi tant de gênes dans le monde, seront affrontés à une peine entraînant dans l’enfer.
Comme l’équipement d’un soldat ne constitue pas une lourdeur pour lui et qu’il ne se retient pas de le porter, n’est-il pas nécessaire aux hommes, étant les serviteurs d’Allah, de préciser notre chemin en pensant que le poids des responsabilités de la servitude envers Allah ne devait pas constituer une lourdeur et d’agir selon Ses règles divines.
Source : Collection de Risale-i Nur, 3. Parole.
yazının tercümesi:
İKİ ASKER
Evvel zaman içinde, askerî bir birliğin komutanı, iki askerini, uzak bir garnizona gitmek üzere görevlendirmiş. Bu iki asker yol için gerekli şeyleri tedarik edip sırtlarındaki çantalara koymuşlar, teçhizatlarını kuşanıp yola koyulmuşlar. Neredeyse yolun başı sayılacak bir yerde birden yol ikiye ayrılmış. Yolların biri sağ tarafa, diğeri sol tarafa gitmekteymiş. Askerler tam hangi yoldan gideceklerini tartışırlarken, her halinden dürüst olduğu anlaşılan bir ihtiyar karşılarına çıkıvermiş. İhtiyar onlara bu iki yol hakkında bilgi vererek şöyle demiş:
“ Eğer sağ yoldan giderseniz, üzerinizdeki ağırlıkları yol boyunca taşımak zorunda kalacaksınız. Ancak yolda ciddî bir tehlikeyle karşılaşmadan sağ-salim varacağınız yere ulaşırsınız. Ayrıca yolun sonunda bir de mükâfat alırsınız. Sol tarafa yönelirseniz, üzerinizdekileri bırakabilirsiniz. Ne var ki, yoldaki tehlikelere karşı silahınız ve diğer malzemeleriniz olmayacağı için birçok tehlikeye maruz kalabilirsiniz. İki yolun uzunluğu da aynıdır. Seçim sizindir. “
Bu sözler üzerine, askerlerden aklı başında olup, nizam ve intizamı seveni sağ yoldan gitmeyi; en ufak zorluğa tahammül etmeyi göze almayıp, serkeşçe bir hayatı tercih edeni ise soldan gitmeyi seçmişler. Yolun sonunda karşılaştıklarında hangi yolun hayırlı olduğunu ikisi de bizzat görse de çoktan iş işten geçmiş. Sağ yoldan giden, her ne kadar biraz ağırlık taşısa da varacağı yere sağ-salim korkusuzca varmış. Üstelik bir de komutan tarafından mükâfatlandırılmış. Sol yoldan giden ise, birçok tehlikeye maruz kalarak perişan olduğu gibi komutanından azar işitip cezalandırılmış.
Bu hikâyecikteki askerler gibi bizler de adeta, ruhlar âleminde, Rabbimiz tarafından ahirete ulaşmak için görevlendirilmişiz. Dünya hayatı, yolculuğumuzun geçeceği yerdir. Üzerimizdeki ağırlıklar ise, dinimizin bize yüklediği mükellefiyetler. Cenâb-ı Hakkın emirlerini dinleyip ibadet mükellefiyetlerine katlanan sağ yolun yolcuları, ahirete selamet içinde varırken, üstelik bir de cennet gibi bir nimetle mükâfatlandırılmaktadır. Dînî mükellefiyetleri kabul etmeyen sol yolun yolcuları ise, dünyada bin türlü sıkıntı çektikleri halde bir de cehenneme girmek gibi bir cezaya çarptırılmaktadırlar.
Bir askerin teçhizatı nasıl kendisine ağır gelmez, onu taşınmayı yüksünmezse, Allah’a] kul olmuş insanlara da bu kulluğun sorumluluklarının ağır gelmemesi gerektiğini düşünüp, yolumuzu ona göre belirlememiz gerekmez mi?
Şemsettin Turan, lors de la présentation un livret de la Collection Risale-i Nur à l’ancien président de la France, Jacques Chirac.
Nous avons causé avec notre frère ainé Şemsettin dont le nom se mentionne avec des services dans les pays étrangers ; pendant cette causerie nous avons écouté de lui-même plusieurs méthodes du service spirituel. Les méthodes dont il nous parle portent une qualité qui peut guider nous tous.
– Mon professeur, pouvons-nous vous connaître ?
– Je suis diplômé de la Section de licence physique. J’ai pris l’éducation linguistique à l’Université Eastern en Angleterre. J’ai pris l’éducation de la gestion publique à L’Institut de la gestion de Moyen-Orient. J’ai fait l’office durant un an dans le projet soutenu par Le Banque Mondial et Le Ministre de l’Education Nationale qui prennent le développement des programmes des leçons comme étant le sujet. Par la suite, j’ai poursuivi, à L’Université d’Ankara, l’éducation de La spécialité de L’Assemblée Européenne durant neuf ans et, j’ai fait l’office étant un enseignant pendant plusieurs ans qui suivirent. En ce moment, je fais l’office étant le conseiller éducatif à l’étranger. Je participe activement à des travaux dans nombreux fondations et associations.
– On parle souvent de ce que vous aviez donné des livrets de La Collection de Risale-i Nur à un grand nombre de personnages célèbres ?
– C’est en fait, la profession du Messager d’Allah (pbsl), donner des livres, des messages à certains gens pour le but de les instruire les vérités de la foi. Comme nous le savons, Le Messager d’Allah (pbsl) a invité à La Bonne Voie d’Allah [Haq], en écrivant des lettres au schah de L’Iran, Kisra ; à l’Empereur de Byzance, Héraclius ; au roi de l’Abyssinie, Najashi ; et à plusieurs leaders de Son Période. En fait, ce message est pour nous. Lire aux hommes “ Les vérités de la foi “ ne peut pas être toujours possible ; mais un œuvre, fait atteindre dans leurs mains, peut occasionner une lumière de la foi qui pourrait s’éclairer dans son cœur à l’avenir.
Nous pouvons voir la même méthode chez Badiuzzaman Said Nursi. Dans le temps, il avait envoyé des Risalé-i Nurs au Japon avec son élève Bayram Yüksel et aussi au Pape au Vatican. En effet, ce sont de bonnes actions obligatoires pour nous tous et une voie pour que nous expliquions notre but à ceux qui nous connaissent mal et nous ne comprennent pas. Les paroles se perdent sans rester des traces mais l’œuvre est permanent. Atteindre ces œuvres aux hommes est une responsabilité pour nous tous. Il se peut que vous ne puissiez pas les faire lire aux gens, mais il est possible de les parvenir à eux.
Resim altı : On voit Şemsettin Türkan, lors de la présentation d’un livret de Risalé-i Nur à Kofi Annan, ancien secrétaire général de l’ONU.
C’est incertain pour n’importe quelle personne quand et où il convertirait à Islam. Notre devoir est de raconter et communiquer la vérité. Il n’est pas déterminé que la personne goûte la foi et par quelle occasion, elle fasse la connaissance de la croyance.
Quand on regarde l’histoire à travers de laquelle on voit autant des prophètes envoyés par Allah qui n’ont aucune communauté sauf quelques gens suivant eux. De même, la femme du Saint Prophète Lût [pssl] n’ajouta pas foi à lui. Le fils du Saint Nuh s’insurgea contre lui. Malgré que l’un des fils du Saint Abu Bakr[psl] se trouve dans les mêmes rangs, son autre fils, Abderrahman combattit dans les rangs de Koraïchites.
Comme vous le savez, les frères ainés d’Isparta [une ville en Turquie] avaient trouvé bon pour nous d’aller en France à propos de s’informer sur les services continués dans ce pays. Louange à Allah [Dieu], on fit commencer vraiment des bons services là-bas.
Le deuxième jour de la fête du Sacrifice [Aïd al Adha] nous sommes allés au bourg de Gray qui fait partie de l’arrondissement de Dijon. L’un de nos compagnons et sa femme ont approprié le service dans ce bourg et se sont entremis à l’ouverture d’une Maison de Nur [dershane] à Gray. Le bourg de Gray est une petite localité de 10.000 habitants ; 80-90 familles Turques y vivent et la plupart d’elles connaissent Les livrets de Risale-i Nur et les possèdent dans leurs bibliothèques. Yusuf Hoca, un retraité de L’Organisation des Affaires Religieuses de La Turquie, n’y était allé que pour effectuer des services de Nur. Durant le Mois de Ramadan, chaque jour jusqu’à Sahur [le repas que l’on mange avant l’aube, de préférence le plus tard possible], les leçons de Nur ont continué dans les maisons. Suivant le mois de Ramadan, en constatant que les maisons furent insuffisantes, ils ont décidé d’établir une Maison de Nur [dershane] et Allah a répondu à cette invocation en hâte. A savoir, on a été ouvert à peine une maison de Nur à Gray. A peu près, aux trois jours de la semaine on lit des livrets de Nur en Français, l’un d’eux destiné aux jeunes. Dans un échelon de 100-150 km. à Gray aux alentours de la quelle se situent les bourgs et les arrondissements comme Vesoul, Besançon, Dijon, Langres et Dijon vivent des milliers des Turcs et y viennent pour participer aux leçons et si Dieu le veut, dans un avenir bien proche on pense ouvrir également sur ces terrains une Maison de Nur[Medrasa-i Nuriyya].
Après Gray, nous sommes allés avec le frère ainé Ismail par le train vers le Sud de La France, à Nîmes, une ville méditerranéenne approximativement de 700.000 habitants, proche d’Espagne et d’Italie. Cette ville se situe à une distance d’environ 600 km. à Gray. Là-bas, le frère ainé İsmail et le compagnon Şerafettin furent des intermédiaires aux beaux services dans un ensemble parfait en solidarité. La propriété de la Maison de Nur appartient au frère Şerafettin qui, à son tour, l’a destinée au service ; elle est vraiment belle et commode. A Nîmes, vivent d’environ 300 familles Turques et y existe une université. Chaque semaine, on se réunit trois fois pour lire les livrets de Nur. On va à leçons mensuelles pour étudier ces œuvres aux maisons dans les provinces comme Narbon, Toulon, Perpignan Marsilya [Marseille] qui se situent à une distance de 150-200 km. A Marseille, les frères ainés, Selahaddin et Musa font des leçons dans les maisons. Ici, à cause de la densité de la population arabe, le quatrième du peuple est Musulman. Il y a une bonne atmosphère et ils demandent de la prière. A Nimes ,il ya d’environ 20 personnes qui participent aux leçons de Nur. Les frères ainés Ismail et le compagnon Şerafettin saluent tous les frères ainés et prient leurs prières. Avant de quitter Nîmes, nous nous sommes entretenus avec nos frères ainés vivant à Limoges où ils employaient un magasin loué comme une Maison de Nur ; mais en raison d’insuffisance aux services qui s’accroissent de plus en plus, on a été établi une nouvelle Maison de Nur. Cette ville est un province où vit un grand nombre du peuple de Yalvaç [ un bourg en Turquie ] et où continuent les leçons. Après Nimes, nous sommes allés à la région de Caen, à une distance de 1050 km, située juste au nord de La France. Ici, vit le frère Zübeyir , un volontaire pieux qui s’était trouvé en Turquie depuis huit ans avec sa famille dans les services des livrets de Nur et qui fut un intermédiaire à la fondation d’une Maison de Nur. Caen est une ville potentiellement favorable au service laquelle a une forte population de Turcs ; peut-être, nous pouvons la nommer à l’échelon de La France comme un arrondissement le plus avancé aux services. De même, dans cette ville se trouve l’un de nos frères ainés, Hacı qui avait fait autrefois l’office en étant président dans la mosquée de L’Organisation des Affaires Religieuse de La Turquie. Vraiment il soutient les services du point de vue des sujets financiers et morals et il est comme un pont dans le service parce qu’il a un voisinage large dans la société. Dans ces lieux, il y a d’environ 60-80 personnes qui participent à la lecture des Risale-i Nur qui arrive neuf fois par semaine. Caen, un endroit pour les services de Nur, promet un avenir brillant. Caen consiste en deux régions dont l’une appelée IF dans laquelle se trouve La Maison de Nur abrite une communauté dense des frères Turcs venus de la Turquie. Par conséquence, les Français nomment cet endroit comme “Iftanbul“ en face duquel se trouve l’université de Caen. On va à faire des lectures à maisons des livrets de Nur dans les provinces et les bourgs d’alentours, comme c’est le cas dans les autres provinces.
Après Caen, nous sommes allés à Lille, à une distance de 500 km. de là. Ici, le frère ainé Zeki a transformé son atelier parfaitement en une grande Maison de Nur. Lille est l’une des grandes villes de La France et y vivent d’environ 7000 ou 10000 Turcs. Nous pouvons dire qu’elle est une ville où les services de Nur conduits en France sont encore plus nouveaux. Il y existe une communauté de 10-15 personnes qui ont à peine reconnu Risale-i Nur. On y fait des leçons de Nur une fois par semaine. On va aux villes comme Gent, Bruxelles liech, Antwerpen, parce que Lille est à la frontière de La Belgique et cette ville possède trois grandes universités. Le frère ainé Zeki salue tous les frères et lui aussi, à son tour demande les prières des compagnons de Nurs. St.Quentine est une ville proche à Lille. Le frère ainé Ramazan y participe aux leçons de Maison et ils veulent y instaurer la neuvième Maison de Nur existante en France, si Dieu le veut.
Après Lille, nous nous sommes arrêtés à Bruxelles, une ville de la Belgique où nous avons participé à un [mashwara], (une négociation d’avis ; ensemble de ceux chez qui on se rend pour consultation) avec les frères ainés. Nous sommes partis pour Gent en quittant Bruxelles. A Gent, Le frère ainé Hamdi a transformé un étage de sa maison en une Maison de Nur où l’on exécute de bonnes leçons de Nur avec une grande activité. Quand on regarde la structure générale de La France, nous avons constaté qu’y vivaient plus d’un million Musulmans et un million Turcs et que les services de Risale-i Nur avaient commencé tout neuf et qu’ils avaient besoin d’un intérêt sincère et qu’à cette étape, on attendait le soutien de toute personne autonome d’une obligation. En ce moment, en France il y a totalement 8 Maisons de Nur et 3 en Belgique. Si Dieu le veut, à la longue, nous espérons et prions que ces nombres soient augmentés par nos courages et par ceux qui se trouvent là-bas.
Le désir de nos frères ainés en Belgique et en France est que les frères ainés volontaires pieux (vaqıf) en Isparta, les frères ainés qui portent des passeports verts et ceux qui sont autonomes de quelque obligation forcée viennent en vacances et qu’ils s’occupent de l’assemblée seul à seul et qu’ils participent aux programmes à lire et qu’ils organisent des programmes et qu’y restent quelques mois les frères ainés libres si c’est possible. Ces activités seraient le motif du service en ces lieux et l’enthousiasme chez les étudiants de Nur en France.